« À cause des péchés des pères » : la Justice belge ordonne le rapatriement de Syrie d’enfants belges de djihadistes, ainsi que de leurs mères
12 février 2019, 15:00, par GeorgesOE
1. Sauf maltraitance par cette dernière, séparer un enfant de sa maman ne devrait pas être permis. Les séquelles en résultant seront incommensurables, tant pour l’enfant que pour la collectivité.
2. Les personnes qui ont pour but de détruire notre mode de vie n’ont pas leur place dans notre société.
3. La décision illégale du juge des référés « ne fait du bien », ni à l’enfant, ni à notre société, ni à l’Etat de droit. Elle « objétise » l’enfant au profit de certaines personnes qui pourront ainsi rentabiliser leurs activités juridico/médiatico/politiques en surfant sur ce thème fondamental, au demeurant, des droits de l’enfant. Il s’agit pour ces personnes d’un placement financier à long terme.
1. Sauf maltraitance par cette dernière, séparer un enfant de sa maman ne devrait pas être permis. Les séquelles en résultant seront incommensurables, tant pour l’enfant que pour la collectivité.
2. Les personnes qui ont pour but de détruire notre mode de vie n’ont pas leur place dans notre société.
3. La décision illégale du juge des référés « ne fait du bien », ni à l’enfant, ni à notre société, ni à l’Etat de droit. Elle « objétise » l’enfant au profit de certaines personnes qui pourront ainsi rentabiliser leurs activités juridico/médiatico/politiques en surfant sur ce thème fondamental, au demeurant, des droits de l’enfant. Il s’agit pour ces personnes d’un placement financier à long terme.