Le palais de justice de Bruxelles était en effervescence ce 5 février, jour du début du procès de Salah Abseslam dans le cadre de la fusillade de la rue du Dries.
Beaucoup attendaient qu’il sorte de son mutisme et qu’il réponde aux questions qui lui seraient posées par le juge. Pourtant, il a maintenu sa position et a indiqué qu’il exercerait son droit au silence. Certains sont choqués, d’autres sont déçus, et les juristes doivent rappeler que ce droit est absolu.
Qu’est-ce que cela recouvre ?