Existe ?t ?il un espoir pour les internés ? – Un colloque du Conseil supérieur de la justice
6 juin 2014, 15:21, par skoby
Il me paraît tout-à-fait justifié de répondre de manière poisitive à ces nombreux
rappels à l’ordre reçus par la Belgique.
Il ne suffit pas d’interner les malades mentaux et les priver de liberté, mais de les
soigner afin d’éventuellement pouvoir les relâcher et les réinsérer dans la société, pour autant que cela soit possible, sans encourir de trop grands risques de récidive.
D’ailleurs pour les prisonniers non-malades, il y a beaucoup trop peu de structures
permettant de préparer les prisonniers à une réinsertion, à la fin de leur peine.
La Justice en Belgique est une grande malade depuis bien longtemps, trop négligée
par la politique, qui ne lui consacre jamais les budgets nécessaires à son bon
fonctionnement.
Il me paraît tout-à-fait justifié de répondre de manière poisitive à ces nombreux
rappels à l’ordre reçus par la Belgique.
Il ne suffit pas d’interner les malades mentaux et les priver de liberté, mais de les
soigner afin d’éventuellement pouvoir les relâcher et les réinsérer dans la société, pour autant que cela soit possible, sans encourir de trop grands risques de récidive.
D’ailleurs pour les prisonniers non-malades, il y a beaucoup trop peu de structures
permettant de préparer les prisonniers à une réinsertion, à la fin de leur peine.
La Justice en Belgique est une grande malade depuis bien longtemps, trop négligée
par la politique, qui ne lui consacre jamais les budgets nécessaires à son bon
fonctionnement.